Prix des Lecteurs 2017 du Livre de Poche – Bilan des lectures (Partie I)

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Prix des Lecteurs 2017 du Livre de Poche
1. Bilan des lectures (Partie I)
2. Bilan des lectures (Partie II)
3. Bilan de l’expérience

Vous le savez peut-être : depuis le début d’année, je suis jurée du prix des lecteurs du Livre de Poche dans la catégorie littérature. Si je prépare un article récapitulatif de l’expérience (résumé express : c’est très cool) quand elle sera définitivement terminée, je profite d’avoir à présent achevé chacun des romans en lice pour faire le bilan de ces lectures. J’ai reçu au total 22 livres dont je vais parler par ordre de préférence plus ou moins approximatif, en commençant pour le moins bon.
Ce premier article présente donc principalement des critiques plutôt négatives ou au moins mitigées mais dans l’ensemble j’ai surtout fait de belles découvertes, comme vous pourrez le lire la semaine prochaine. Mis à part une minorité de romans que je n’ai pas du tout aimés, la plupart de ceux présents dans l’article ne sont juste pas le style de lectures que j’affectionne, ce qui n’enlève rien à leurs qualités. Vous pourrez certainement faire de bonnes surprises parmi eux !
Je suis d’ailleurs très contente de les avoir lus car cela m’a fait sortir de ma zone de confort littéraire, et c’est quelque chose de quand même carrément positif, non ?


Je n’ai (vraiment) pas aimé

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ahlamAhlam
Marc Trévidic
(2016)


Un peintre français s’installe en Tunisie et se lie d’amitié avec la famille d’un pêcheur. En découvrant les talents musicaux de ses enfants, il décide de les accompagner dans l’apprentissage de la musique. L’influence grandissante de l’islamisme viendra contrarier leur vie paisible.

Elle s’assit à sa table, sans rien demander, déploya une longue jambe fine moulée délicatement dans un bas de soie qu’elle croisa sur son autre jambe fine. Paul pouvait voir l’attache de la jarretelle. Elle mit son coude droit sur la table, y posa son menton et le regarda sans rien dire pendant quelques instants.

Je commence avec le seul roman de la sélection qui m’ait vraiment énervée. Pas juste déplu ou ennuyé hein, mais bien donné envie de le lancer par la fenêtre.
Il partait pourtant de l’intention louable de vulgariser le processus de radicalisation sans le rendre manichéen ni stéréotyper l’islam. Cette partie est d’ailleurs très intéressante, l’auteur connaît son sujet (c’est d’ailleurs un ancien juge anti-terroriste), c’est vraiment instructif. Ses essais sont probablement très bien fait, et je termine là pour le positif parce que le romanesque… c’est pas ça. Pas du tout.
Passons rapidement sur le style d’écriture vraiment pas fameux et l’histoire remplie de clichés. Le vrai souci, c’est la caractérisation de ses personnages et principalement… des personnages féminins.
Si le héros en lui-même est assez insupportable, je reproche surtout à M. Trévidic de nous faire part constamment de ses fantasmes : toutes les femmes du roman (excepté la grand-mère) sont grandes, élancées, avec « de longues jambes galbées » et « des formes parfaites ». Toutes. J’ai failli me mettre à compter les récurrences de ce type de description physiques parfaitement identiques tant je n’en pouvais plus. Évidemment, ces femmes au physique mannequin servent également toutes d’intérêt amoureux pour le héros (sauf la grand-mère, donc) et c’est franchement malsain.

Attention, à partir de là je spoile un peu !
Le héros tombe tout de même amoureux d’une jeune fille de 16 ans qu’il a quasiment élevé depuis sa petite enfance lorsqu’il réalise qu’elle a « des jambes parfaites et des seins fermes » et qu’elle ressemble à sa mère qu’il a passionnément aimé, alors même que son comportement est encore décrit comme enfantin. La morale est sauve puisqu’ils ne couchent ensemble qu’à ses dix-huit ans et c’est vraiment la super histoire romantique du roman trop de love.
Alors en soit pourquoi pas si le sujet était bien traité, mais là le seul bémol relevé par les personnages (et donc l’écrivain) est uniquement leurs vingt ans d’écart. Jamais il n’y a de réflexion sur le fait de tomber amoureux de la fille de celle qu’on a aimée, à laquelle on a servi de figure paternelle, et surtout qui est encore une ENFANT au moment du coup de foudre, nada. À la place on a juste des scènes de sexe Harlequin incluant de longues jambes élancées.

Moi quand je lis ça, eh bah je n’arrive pas à me détacher de l’image d’un auteur qui ne prend aucun recul sur ses écrits et avoue qu’il aime bien se taper des petites jeunes aux longues jambes. Peut-être est-ce un jugement hâtif, mais c’est malheureusement un cliché littéraire que l’on lit bien trop régulièrement et qui romance une réalité rarement aussi romantique.
Bref, je me suis déjà étendue un peu trop mais ce n’est même pas le seul défaut de l’œuvre, je l’ai terminée bien vénère, donc franchement, vous pouvez passer votre chemin.

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– Et mes longues jambes élancées, tu les aimes mes longues jambes élancées ? (Le Mépris – Godard)

une_allure_folleUne allure folle
Isabelle Spaak
(2016)


Isabelle Spaak retrace l’histoire de sa mère, Annie, connue pour avoir tué son mari, et de sa grand-mère, Mathilde, ayant élevé seule sa fille dans la société bruxelloise huppée.

Je me suis acheté une loupe pour scruter ses traits, le détail de ses toilettes, le visage des amis qui posaient avec elle.
J’en reconnais certains d’une image à l’autre sans savoir qui ils sont. Alors forcément, j’extrapole. Ce n’est pas très sérieux. Mathilde l’était-elle ?

Là, ça va être très rapide : j’ai détesté le style d’écriture et j’ai traversé tout le roman en diagonale tant je ne me sentais pas impliquée. Les chapitres sont très courts, la narration souvent confuse, c’est certes un texte qui a du être très important pour son autrice mais en tant que lectrice j’ai trouvé ça largement dispensable.


papa_danseuse_étoileComment Papa est devenu danseuse étoile
Galvin’s Clemente-Ruiz
(2016)


Lucien est au chômage, ce qui pousse sa femme et ses deux enfants à bout. Le jour où il se met subitement et mystérieusement à prendre des cours de danse, le quotidien et tous les repères de la famille sont bouleversés.

« PAPAAAAAAA ??? »
Ma sœur finit par hurler pour qu’il ouvre un œil et baille :
« J’ai pas envie de bouger. Tu peux peut-être y aller toute seule. Tu ne m’en veux pas, ma chérie ? »
Elle lui rappelle – encore une fois – que maman ne veut pas qu’elle prenne le RER seule jusqu’à Créteil. Insiste. Mais rien à faire.
Elle doit aller à son stage toute seule.
La loose totale.

Alors celui-ci, quand j’ai ouvert le colis et que mes yeux se sont arrêtés sur la couverture criarde, j’ai eu quelques sueurs froides. J’ai essayé au maximum de lui donner le bénéfice du doute mais le titre ne m’inspirait pas plus confiance (j’ai eu une lueur d’espoir en me disant que, peut-être, l’auteur abordait le sujet de la transidentité, d’où l’emploi du féminin, mais non. Papa devient danseuse étoile… c’est pour rigoler ? l’auteur a oublié que « danseur », ça existe aussi ? Je n’ai pas encore compris. Après, ce détail mis à part, l’intérêt du père pour la danse classique n’est pas utilisé comme un ressort humoristique, ce qui est très bien).
Finalement c’est un condensé de ce que je ne cherche pas dans la littérature. Je n’ai pas trouvé ça drôle, ce n’était pas attachant, pas crédible, les personnages sont des coquilles vides, je suis à la limite entre l’indifférence et la détestation.
Après, il faut savoir que je suis (très) mauvais public pour les romans humoristiques donc peut-être suis-je mal placée pour juger ce texte, mais vraiment tout m’a laissée de glace.


il-était_une_lettreIl était une lettre
Kathryn Hughes
(2016)


Manchester, 1973 : Tina est une jeune secrétaire mariée à un homme violent et alcoolique. Elle découvre un jour dans la boutique caritative dans laquelle elle est bénévole une étrange lettre de 1939 qui la fera retourner sur les pas de Chrissie, autre femme au cœur meurtri.

Désormais, il était décidé à rendre Chrissie heureuse, coûte que coûte. Malheureusement, deux hommes, dont Billy ignorait encore l’existence, allaient conspirer contre lui. L’un était le Dr Skinner, le père de Chrissie, l’autre était occupé à envahir l’Europe, désirant à tout prix étendre son empire.

Mélodrame : le roman officiel.
C’était impressionnant de lire un livre où chaque page est un concentré de formules vues et revues, à un stade où ça en devient fascinant. J’ai d’ailleurs pris un plaisir captivé à le lire, et peut-être suis-je sans cœur mais j’ai même ri quelques fois. C’est cliché et complètement premier degré, avec nombre d’emphases dramatiques et de passages mal écrits infusés dans la tragédie et/ou les bons sentiments.
Ah, et je déteste les coups de foudre donc ici ça n’a pas manqué : je ne comprends vraiment pas ce qu’il y a de romantique à tomber éperdument amoureux de quelqu’un à qui on a jamais adressé la parole au premier coup d’œil, donc sans rien connaître de plus sur la personne que son physique.
En dehors de ça le texte est plein de bonnes intentions, abordant des sujets forts et transmettant quelques jolis messages mais l’écriture est si bateau et remplie de poncifs que c’est difficile de croire à ce que l’on lit.


Je n’ai pas accroché (mais ça passe)

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venise_n_est_pas_en_italieVenise n’est pas en Italie
Ivan Calbérac
(2015)


Émile, 15 ans, vit dans une famille un peu doux-dingue qu’il n’ose pas assumer en face de ses amis et particulièrement de Pauline, la fille dont il est amoureux. Elle l’invite un jour à l’accompagner à Venise, ce à quoi ses parents consentent à condition de venir avec lui… ce qui aboutira à un road trip en caravane à travers la France.

Quand elle sourit, c’est comme si on venait d’ouvrir les volets, ça rayonne et ça éclabousse en même temps, ça fait du bien.

Venise n’est pas en Italie est une comédie romantique écrit à la première personne par un adulte avec un héros adolescent. Je suis souvent assez méfiante avec cette configuration, particulièrement chez les auteurs qui n’écrivent pas habituellement pour les jeunes. Le vocabulaire utilisé est quelques fois faussement adolescent dans ces cas-là, donnant une impression globale pas très heureuse.
Ici, je suis un peu mitigée : le héros semble parfois avoir sept ans, d’autres quarante, et ça sonne parfois très faux… mais à d’autres moments ça touche plutôt juste.
En dehors de ça, c’est un roman vite lu, sans déplaisir, mais tout aussi rapidement oublié. J’ai vu qu’il a été adapté au théâtre et je me demande si ce n’est pas plus sympa à voir sur scène !


hier_encore_c_etait_l_étéHier encore, c’était l’été
Julie de Lestrange
(2015)


Des amis d’enfance terminent enfin le lycée et rentrent dans leur vie de jeunes adultes, qui leur apportera joies et peines.

Ils étaient jeunes, ils étaient beaux, ils se baignaient à vingt heures, buvaient à vingt-deux et dînaient d’une fondue à vingt-trois. Ils étaient libres et tout-puissants comme le sont les enfants de vingt ans.

J’en ai déjà parlé à l’occasion d’un c’est le 1er donc je vais faire la feignasse et copier-coller mon avis, qui n’a pas changé depuis :
c’est donc ça un téléfilm M6 transposé en roman ? Tout est très, très consensuel, les personnages, l’histoire, il n’y a pas une once de texte qui bouge quelque chose ou dérange, ça reste bien dans les clous. Ça se lit très vite, l’écriture est simple sans être désagréable, bref, c’est du calibré qui aura certainement beaucoup de succès mais qui n’est pas du tout ce que je cherche à lire. Il n’y a même pas particulièrement d’identification aux personnages puisque tous ou presque évoluent dans un milieu parisien très aisé et déconnecté du reste du monde, mais il n’y a pas non plus de réflexion sur ce statut social. Je ne peux même pas dire que je n’ai pris aucun plaisir à le lire, ça allait, je l’ai terminé rapidement… mais déjà oublié. Un peu vide, donc !


c_est_où_le_nordC’est où, le Nord ?
Sarah Maeght
(2016)


Ella, 24 ans, est professeur à Paris où elle partage son appartement avec son amoureux. Quand il décide de retourner dans leur ville natale, Dunkerque, elle choisit de ne pas le suivre et de vivre sa vie avec ses ami·e·s et son poisson rouge.

– Je vous jure, madame, le Télé-Achat, c’est pareil que la vie.
– Comment ça?
– C’est jamais comme à la télé.

J’étais plutôt enthousiaste en lisant la quatrième de couverture… qui spoile en fait un rebondissement n’arrivant qu’en deuxième moitié du roman (qui écrit les résumés, sérieusement ?) et n’est pas particulièrement bien traité, donc j’en suis sortie déçue. Dans l’ensemble c’est très convenu avec beaucoup trop de clichés et une écriture un peu étrange, presque forcée, qui m’a rendue difficile l’identification avec l’héroïne. Ce n’est pas foncièrement désagréable mais c’est plutôt anecdotique.


une_vie_d'empruntUne vie d’emprunt
Boris Fishman
(2014)


Slava est un jeune journaliste juif russe habitant à Manhattan. Quelque temps après le décès de sa grand-mère, le gouvernement allemand accorde sur conditions une réparation financière aux victimes des camps durant la Seconde Guerre mondiale. Son grand-père lui demande alors de fabriquer une histoire afin qu’il puisse en bénéficier.

Je voulais éviter que ma mère ne perde le seul homme qui lui restait, alors oui, je suis parti en Ouzbékistan. Pas pour vivre dans un palace, je volais à la tire et me pissais dessus dans la rue pour me faire réformer en jouant les attardés – il détourna la tête. Ecoute je suis revenu. Je me suis enroulé.

Celui-là, je l’ai commencé en plein dans ma (petite) panne de lecture et j’ai eu beaucoup, beaucoup de mal à le terminer. Clairement, si je n’avais pas eu l’obligation morale de le finir pour m’en faire un véritable avis, je l’aurais rapidement abandonné ! Pourtant l’histoire est plutôt intéressante, et l’écriture est atypique et pleine d’humour. Mais je me suis quand même ennuyée comme un rat mort, et je ne sais pas si la faute revient à mon manque de concentration ou au texte. Ce n’était peut-être juste pas le moment pour le rencontrer !


entre_ciel_et_lou_couvEntre Ciel et Lou
Lorraine Fouchet
(2016)


Jo se sent seul depuis le décès de sa femme Lou dans la maison bretonne qu’ils devaient partager tous les deux pour leur retraite. Mais le testament de son épouse lui demande de rendre ses enfants heureux. Difficile, car Lou était le ciment de la famille qui se délite depuis sa disparition, mais Jo va tout faire pour respecter son souhait.

C’est moi au premier rang dans l’église, avec les yeux rougis, le caban et le pull turquoise posé sur les épaules.

J’ai passé un moment assez agréable en compagnie de ce roman un peu typique de la littérature de vacances. C’est feel-good, plein de bons sentiments, et ça plaira certainement à beaucoup de monde. Le souci c’est que je ne fais pas parti du tout du public visé, et que OK la Bretagne c’est très joli mais si les Bretons pouvaient arrêter de répéter en long large et en travers que c’est leur région la meilleure ça serait sympa, merci. Il y a de fait beaucoup de clichés et bien trop de personnages qui nouent leur chandail sur les épaules (il y a même une ou deux remarques comme quoi ce serait sexy, alors que… ben non ?).
Ah et encore un message aux Bretons qui écrivent : on sait que les marinières ça vient de chez vous, pas la peine d’en caser une toutes les deux pages.

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– C’est bon, j’ai l’air assez bretonne là ? (source : publicité Saint James)

jeune_homme_prometteurUn jeune homme prometteur
Gautier Battistella
(2014)


Partant pour la capitale depuis son village natal des Pyrénées, le narrateur décide de partir à la découverte de tous les grands écrivains qu’il admire. Il sera soumis à de nombreuses désillusions.

Son visage se ratatinait, comme une pomme oubliée sur le bahut. Elle avait pris une vie en deux mois.

Difficile de dire ce qui m’a agacée dans le roman sans dévoiler quelques rebondissements majeurs, donc pour faire court je dirai que l’auteur use de clichés un peu éculés et très pénibles. Ce n’est dans l’ensemble pas mauvais, mais il y a une ressemblance trop forte avec les romans de Bret Easton Ellis ou de Chuck Palahniuh : n’aimant pas ces deux auteurs, j’ai eu par relation de Chasles du mal avec celui-ci. Ah, et il y a aussi un petit côté « c’était mieux avant » qui a tendance à me faire lever les yeux au ciel.
Mais objectivement, c’est un roman intéressant !


Et voilà pour les lectures qui ne m’ont pas convaincue. Le prochain article sera moins rempli de fiel et de mauvaise foi, promis juré !
Avez-vous lu certains de ces romans ?

7 réflexions sur “Prix des Lecteurs 2017 du Livre de Poche – Bilan des lectures (Partie I)

  1. On sent ton énervement pour les répétitions en continue de la Bretagne dans le livre Entre Ciel et Lou xD Les livres que tu présentes ne me donnent pas envie mais j’adore lire tes critiques encore une fois. j’attends la partie deux avec impatience même si je le sens que je vais encore encore bourrer ma wish list !

    Aimé par 1 personne

    • Ahah, en effet j’étais un peu agacée 😀 (bon après ce n’est pas un vrai défaut, mais c’est vrai que ça m’a rappelé des bretons que j’ai pu avoir dans mes classes et qui prenaient… très à cœur leur région d’origine, des offices de tourisme sur pattes !)

      J’aime

  2. Merci pour cette anti-wish-list 😁, je n’en ai lu aucun et vu tes critiques, il y a peu de chance pour que ça change!
    J’ai eu exactement la même réaction que toi en voyant « Comment papa est devenu danseuse étoile » : entre la couverture et le titre, impossible que ce livre arrive dans ma PAL!
    Je méfie aussi bcp des bandeaux qui annoncent  » le livre qui a déjà ému plus de 350000 lectrices » …
    Et puis moi, j’aime bien la Bretagne, les marinières, les crêpes et le cidre! 😉

    Aimé par 1 personne

    • Mais je t’en prie :p
      Aaaah, ça me fait plaisir de voir que je ne suis pas la seule ! Et vraiment tu ne manqueras rien à ne pas le lire.
      Pareil, le bandeau m’a mis autant en confiance que les couvertures criardes… c’est assez annonciateur du roman tire-larmes-mélo je trouve.

      Et j’aime bien aussi la Bretagne et le reste, c’est surtout ce côté « c’est la MEILLEURE région » qui m’agace, et que j’ai pu retrouver chez plusieurs camarades de classe breton… donc je fais une généralisation avec un peu de mauvaise foi 😉

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  3. Je dois avouer que jamais je n’aurais été tentée par ces livres et tout comme toi, j’ai beaucoup de mal avec les romans humoristiques, donc je comprends que ça ne te parle pas…

    La remarque sur les Bretons m’a fait rire. xD (je sais, c’est pas bien)
    En tout cas, c’était très intéressant et il me tarde de voir quels sont tes avis positifs 🙂

    Aimé par 1 personne

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